Titre : Trois hommes et demi.
Auteur : Debbie Carbin.
Genre : Romance.
Edition : Milady.
Nombre de pages : 525 pages.
Prix : 8.70€.
Résumé :
Un de perdu, trois de retrouvés ?
Beth passe sa vie auprès de l'homme qu'elle aime. Sauf que Richard n'est autre que son patron et qu'il ne veut pas d'elle. À ses yeux, elle n'est qu'une assistante corvéable à merci. Lorsqu'il décide de s'exiler au Portugal avec une autre femme, Beth est anéantie. C'est alors que trois prétendants se présentent à elle : le séduisant Brad aux allures de gendre idéal, Rupert, le millionnaire sexy en diable, et le mystérieux Sean, qui s'intéresse à elle d'un peu trop près. Finira-t-elle par comprendre que Richard n'est pas l'homme qu'il lui faut ?
Extrait :
- Ah, bravo ! Dieu merci, il reste au moins une personne qui n'a pas oublié la vraie signification de Noël.
Nous partons tous deux d'un petit rire. Il remonte légèrement sa manche (il porte des boutons de manchette ! Ça existe encore ?) pour consulter sa montre. Merde !
- Bon, commence-t-il.
Je ne veux pas qu'il finisse. Pourtant je ne peux pas non plus lui montrer que je ne veux pas qu'il termine sa phrase.
- Moi aussi, interviens-je. Des courses à faire, une robe de chambre importante et symbolique à dénicher.
Je fais un geste vers les mots écrits sur ma main.
Avis :
C’est la première fois que je saute des phrases et des paragraphes dans une lecture. Pour dire que je n’ai pas vraiment apprécié ce roman, principalement en raison d’une héroïne agaçante et d’une narration épuisante ; avec un humour à la noix et des descriptions inutiles. Toutefois le scénario détient du potentiel, surtout avec ce suspense impensable. Je ne vais tout de même pas faire un long avis, l’histoire ne le mérite pas.
Beth est superficielle au plus haut point. Sincèrement je ne sais pas comment la décrire autrement, elle fantasme sans arrêts et surtout pour des futilités. C’est une femme se posant toujours des questions sur comment elle apparaît face au monde, jouant un rôle ; affichant un doux sourire pour paraître « belle et simple ». Rien n’est agréable venant d’elle, ses rêves semblent ennuyants et le fait de tout connaître de ses pensées est une épreuve pour notre esprit ; mon envie de lire s’est enfui au moment où j’ai commencé à discerner sa personnalité.
En différence j’ai beaucoup aimé Rupert et Brad, surtout Brad ; petit-ami idéal. Peut-être un peu trop parfait au début, malgré les doutes qu’on a sur le fondement de ses sentiments. En dehors de ça, Rupert est plutôt drôle ; ses mails m’ont fait sourire et j’ai beaucoup apprécié sa légèreté.
Une synopsis surdéveloppé et sans importance, on traverse ou on passe à côté du récit. Pourtant les révélations restent surprenantes et le roman aurait pu me plaire grâce à ce point-là ; malheureusement mon envie de secouer l’héroïne et de dormir après tant de détails était plus forte que le peu de point positif. Une romance ne me correspondant absolument pas, elle ne décèle pas explicitement de message essentielle à la vie ; sauf d’éviter le mensonge. De plus elle ne m’a transmis aucune émotion et l’écriture est juste impossible à dépeindre tellement elle est prise de tête.
Je vais en rester là pour « Trois hommes et demi » et je ne pense pas me replonger dans une œuvre de Debbie Carbin. J’ai retenu le stricte minimum de ce récit et encore j’ai échappé à quelques paragraphes ; sinon je ne l’aurais guère terminé et fait ma critique. Maintenant une lecture suivante pour que j’oublie l’ennui de cette histoire.
Beth est superficielle au plus haut point. Sincèrement je ne sais pas comment la décrire autrement, elle fantasme sans arrêts et surtout pour des futilités. C’est une femme se posant toujours des questions sur comment elle apparaît face au monde, jouant un rôle ; affichant un doux sourire pour paraître « belle et simple ». Rien n’est agréable venant d’elle, ses rêves semblent ennuyants et le fait de tout connaître de ses pensées est une épreuve pour notre esprit ; mon envie de lire s’est enfui au moment où j’ai commencé à discerner sa personnalité.
En différence j’ai beaucoup aimé Rupert et Brad, surtout Brad ; petit-ami idéal. Peut-être un peu trop parfait au début, malgré les doutes qu’on a sur le fondement de ses sentiments. En dehors de ça, Rupert est plutôt drôle ; ses mails m’ont fait sourire et j’ai beaucoup apprécié sa légèreté.
Une synopsis surdéveloppé et sans importance, on traverse ou on passe à côté du récit. Pourtant les révélations restent surprenantes et le roman aurait pu me plaire grâce à ce point-là ; malheureusement mon envie de secouer l’héroïne et de dormir après tant de détails était plus forte que le peu de point positif. Une romance ne me correspondant absolument pas, elle ne décèle pas explicitement de message essentielle à la vie ; sauf d’éviter le mensonge. De plus elle ne m’a transmis aucune émotion et l’écriture est juste impossible à dépeindre tellement elle est prise de tête.
Je vais en rester là pour « Trois hommes et demi » et je ne pense pas me replonger dans une œuvre de Debbie Carbin. J’ai retenu le stricte minimum de ce récit et encore j’ai échappé à quelques paragraphes ; sinon je ne l’aurais guère terminé et fait ma critique. Maintenant une lecture suivante pour que j’oublie l’ennui de cette histoire.
Note :
2/10.
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